L’île Saint Vincent (archipel du Cap Vert)
Nous laissons à tribord l’île de Santo Antao d’origine volcanique pour approcher l’île de Saint Vincent où nous allons faire escale.
Le cap’tain tente un appel à la VHF : « Manu, Manureva pour Ladyd’or, où es-tu ?!! ». Gérald et Jocelyne sont bien là et nous attendent sur le ponton de la marina parés à attraper et frapper nos amarres.
Un petit
coup d’œil sur la petite île de Passaros située au cœur de la baie de Porto
Grande.
Le soleil se
couche sur la baie où un beau trois mâts semble également faire escale.
A la tombée de la nuit, nous en profitons pour partager un moment de convivialité avec Gérald et Jocelyne au restaurant Pica-Pau.
Au
menu : langouste grillée !
Ici, la
tradition est de laisser un petit mot ou un dessin accroché au mur !
Le temps
étant compté, nous repartons après un séjour trop court…
Et nous
mettons le cap au 280°…
La navigation
Dans les
parcs d’attraction, il faut souvent attendre 1 à 2 heures pour assister à une
séance de 3 minutes de cinéma dynamique. Avec les alizés, nous profitons de 24,
48 ou 72 heures de cinéma dynamique sans une seule minute d’attente.
Yeah !!!
C’est le bon
moment pour ranger le gennaker.
Et voilà,
l’affaire est dans le sac !
Maintenant,
nous pouvons sortir le spi…
Et lui ôter sa
chaussette !
Du mou !
Donnez-moi du mou !!
C’est
l’instant critique où les regards se lèvent pour surveiller le bon déploiement
du spi.
Deux choix
de voiles en ciseaux pour mettre à profit les alizés par vent arrière : le
gennaker tangoné avec le génois ou bien le génois tangoné avec la trinquette
selon la force du vent.
La nuit,
nous réduisons la voilure par précaution et aussi pour ménager le repos de ceux
qui ne sont pas de quart.
La lune
montante nous accompagne pendant nos quarts de nuit.
La vie à bord
Un duo musical
improvisé dans le cockpit !
José en
pleine immersion culturelle ou comment l’iPod et son acolyte Bluetooth
séduisent un tout nouvel adepte…
Bertrand
s’est laissé séduire par la cinémathèque embarquée.
C’est le
temps des écritures… pour tenir à jour le carnet de bord.
Elle pousse,
elle pousse, sans cesse, la barbe !
Avant de
cuisiner, il faut parfois se livrer à la corvée de pluches.
Thierry aux
fourneaux,
José en
admiration,
Patrick à la
supervision,
Bertrand à
la photo.
La
spécialité du chef : les bananes flambées au Rhum de Martinique.
Une autre
spécialité du chef : le temps des contrôles et des réparations.
Le
Kâma-Sûtra du marin ou les différentes positions pour arriver à dormir quelques
heures malgré la houle et le roulis.
C’est aussi
le seul moment où José est sage !
A suivre très prochainement…